vendredi 24 décembre 2010
Sortie en bateau
Le pain de sucre
Reprise des activités
mardi 21 décembre 2010
Alerte à Copacabana
De Santos à Rio
On a eu le dimanche complet pour récupérer (mais malgré le nombre de Caipirinhas avalées ni maux de tête ni fatigue excessive à signaler) et profiter du soleil bien présent et de la plage.
Le soir, RDV pour prendre le bus de nuit à 23H. Les liaisons ferroviaires étant quasi inexistantes, le trajet s’est fait en bus couchette : il roule toute la nuit, on a des sièges proches de ceux de la première classe en avion. La conséquence est qu’il y a très peu de passagers : 15 à 20 personnes suffisent à le remplir.
On y dort pas mal et c’est une bonne chose. Car quand on ouvre un œil vers 2h du matin et qu’on est engagé dans une descente pleine de virage, qu’on ne peut pas voir la route et qu’on entend la succession des ralentisseurs passée à (très) grande vitesse, on apprécie de pouvoir dormir et de ne pas flipper toute la nuit ;-)
Néanmoins, nous parvenons sain et sauf dans la banlieue de Rio où les embouteillages diminuent très sensiblement la vitesse et on arrive après un trajet de près de 10h dans l’appartement où nous allons finir le séjour à 2 pas de la plage de Copacabana !
Mariage
Je ne vais pas passer des heures sur le mariage, ce n’est pas l’objet de ce blog. Simplement dire que l’église était belle, les mariés aussi (mais ce n’était pas une surprise), le discours du prêtre en portugais difficilement compréhensible (il a quand même parlé de Jésus et d’amour) la famille de U était très sympa, la fête réussie, les danses et les chorégraphies brésiliennes nombreuses (et parfois surprenantes). Un truc quand même à noter, c’est le premier mariage auquel j’assiste où je n’entends ni Gilbert Montagné, ni Claude François. Et ça, c’est bien !
Ah si, une dernière chose, je me suis retrouvé témoin au dernier moment. Et si cela m’a empêché de prendre des photos de la cérémonie, j’en étais quand même contentlundi 20 décembre 2010
Santos
Hôtel Riviera
De l’aéroport à Santos
Arrivée et premières impressions
Je n’ai pas bien étudié les cartes mais Sao Paulo se trouve plus au sud que je ne le pensais initialement au Brésil. Cela reste tout de même juste au niveau du tropique du Capricorne.
En survolant la ville, on a une impression de densité : de nombreuses habitations basses et serrées les unes contre les autres. Les alentours sont vallonnés et très boisés.
Çà et là émergent bien quelques tours d’habitation surgissant de façon impromptue, mais c’est une ville plus horizontale que verticale.
Avec la descente, on s’aperçoit que beaucoup de bâtiments ont des toits ondulés. Ça ne respire pas l’opulence…
La sortie de l’aéroport est un peu longue : plus d’une heure entre l’atterrissage, les formalités douanières et les bagages.
J’envoie un sms à C. (la sœur de S) que je dois retrouver pour prendre le bus de 9h30 mais l’heure tourne et toujours pas de réponse.
A 9h32, je trouve le bus qui n’est pas parti. La préposée aux tickets m’envoie attendre dans un bureau vide pour acheter mon ticket. Un peu inquiet, je guette si le bus ne part pas. Mais je suis rassuré quand je comprends (2eme personne qui ne parle pas espagnol, je sens que ça ne va pas être facile pour la langue…) que le gars qui m’a rejoint dans le bureau n’est autre que le chauffeur du bus.
J’en profite pour alléger la tenue : il fait 23° de plus qu’à Paris !
Je prends finalement place dans l’étuve le bus. C et J ne sont toujours pas là. Confirmation par SMS : ils sont en retard et encore aux bagages quand le bus démarre L
Je pensais que le parcours ne se ferait que sur de grands axes, mais il a un parcours dans de petites rues.
On croise des chevaux, de vieilles coccinelles (les voitures, pas les insectes qui auraient plein de points), beaucoup de grilles pour protéger les maisons et les magasins (comme au Maroc ou en République Dominicaine), des bicoques faites de bric et de broc au milieu de carcasses métalliques. Ce ne sont pas les standards européens qui prévalent !
jeudi 16 décembre 2010
Départ
Finalement, pas de catastrophe à signaler, même si, absorbé dans ma lecture, j’ai failli rater une correspondance.
Il faut tout de même signaler que les transports parisiens ne sont vraiment pas adaptés à des passagers avec des valises grand format. Quelle galère !
Vol légèrement agité mais pas grand-chose à signaler. La classe eco est définitivement moins confortable que la première mais j’ai quand même réussi à aligner quelques heures de sommeil.
Nourriture bienvenue, film distrayant (Tamara Drew – et non Camarade Roux ;-) ). A présent, le Brésil est en vue!